Après coup

L'autre idiot ne m'a toujours pas redonné de mission. Alors j'en profite, je voyage. C'est bien quelque chose qui ne m'était pas arrivé depuis bien longtemps. Depuis Ptolémé au moins.

Sous la forme de ce dernier, vétu d'un jeans simple et d'un tee-shirt, je pousse la porte de la bibliothèque. C'est bien le problème chez les humains. Vous etes incapable de garder un style de vêtement bien longtemps. Résultat, nous, pauvre djinns, sommes obligés de nous adapter, ce qui n'est pas toujours facile lorque l'on a passé 100 ans dans l'Autre Lieu, où nous ne portons pas de vêtements (dans tous les cas, ça ne nous sert à rien, puisque les vêtements que nous avons sur le dos lorsque nous sommes humains sont en fait constitués de la même façons que nos mains ou nos pieds.)

La bibliothèque est grande et bien éclairée. Pas un bruit n'y regne et on y rencontre toujours des gens intéressants, c'est pourquoi il me plait d'y venir.

Aujourd'hui, MON fauteuil est occupé par une fille, roulée en boule. Et le fauteuil a vécu, ça se voit, je sais pas ce qu'il lui est arrivé, mais il est en mauvais état. La dernière fois que j'ai vu un objet dans cet état, il venait de se faire ecraser par un marid. Enfin j'exagère un peu, mais vous comprenez.*

La jeune fille frémit, je crois qu'elle a froid. J'approche doucement mon visage du sien** Son souffle chaud me carresse le visage. "Tient, c'est rigolo, elle pue pas celle là".

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*En fait, pour tout vous dire, cétait pendant l'une des nombreuses guerre de notre ami (ou ennemi, cela depend du point de vu) Napoléon. Vous savez certainement qu'il avait un chapeau fétiche (ah? Vraiment pas?). Bref, toujours est-il qu'au court d'une bataille, Napoléon avait posé son chapeau sur une table (le bougre ne se battait jamais, c'était toujours à nous ne faire le sale boulot) et un marid et moi-même avons fait irruptions dans sa tente. J'étais sous forme de fouine, l'autre d'elephant (ce qui prouve bien que les marids, contrairement aux dires, sont completements idiots). Non seulement nous avons emporté la tente avec nous, mais le marid a écrasé le précieux chapeau (qui était d'ailleur laid). J'ai reçu, en plus d'une queue réduite en bouillie par une patte d'éléphant, une bonne dose de pointillés incandescants ce jour là. Rien que d'y penser, j'en ai l'Essence qui frémit.
** Oui, enfin, pas trop près non plus. La dernière fois que j'ai fais cette erreur, c'était avec un afrit au sommeil légée. Je n'ai plus jamais recommencé.

Pearl bouge légèrement dans son sommeil, suivant le flux de son imagination qui lui fait faire le tour des possibilités concernant le plan qu'elle a lancé, le tout sous formes de rêves. Elle s'imagine déjà dans les bras du beau, du magnifique, du puissant, de l'héroïque John Mandrake. Elle en frémit d'avance. Ses lèvres sur les siennes, son doux regard, son visage si jeune. Elle soupire. Et alors que Mandrake allait pour l'embrasser, elle l'entend dire:

"Tiens, c'est rigolo, elle pue pas celle-là."

Surprise, elle recule la tête, autant en rêve qu'en réalité, et se cogne contre le dossier. Elle ouvre les yeux, et se retrouve face à un regard noir et profond, qui appartient à un visage basané. Elle sursaute très légèrement, se redresse doucement pour ne pas bousculer le jeune homme, et l'étudie aux trois niveaux. Il a la même forme et pourtant, son aura est trop puissante pour qu'il soit magicien. Elle cligne des yeux, relève le menton dignement, bien qu'il tremble un peu, et lui tend la main.

"Bonjour, monsieur le djinn... Vous êtes venu me faire exécuter ?"

Il faut dire qu'elle s'attendait parfaitement à ce que Tyria rate son coup et se fasse découvrir. De plus, elle connaît bien cette apparence, qui a longtemps suivit John Mandrake lorsque Pearl l'espionnait en quelque sorte.

(Je suis surprise par ta capacité à imiter parfaitement le style de J. Stroud ! Bravo ! ^^)

La fille a bougé un peu, puis elle a reculé la tête et c'est heurté au dossier. Pas plus maladroit qu'un humain. C'est d'ailleur pour ça que, nous autres les djinns, sommes superieurs*.

La fille me scrute. Je sens qu'elle est puissante, bien plus que Nathaniel. Je n'aimerai vraiment pas être à son service. Rien que l'idée des pointillés parcourant mon essence me fait peur.
Elle me tend la main.

"Bonjour, monsieur le djinn... Vous êtes venu me faire exécuter ?"

Hors de question que je la touche, pourquoi me tends-elle la main, si elle sais que je suis un djinn? Aurrai-elle quelque chose derrière la tête**? L'executer? Et puis quoi encore? Pour salir ce lieu si beau? Hors de question !!

La fille tremble un peu. Elle s'attend peut-être à ce que je la tue, mais je vois bien qu'elle ne se laissera pas faire sans se defendre, malgrès son corp frèle. Et puis, je suis de bonne humeur je suis libre! ***

Je prend ma voix la plus caverneuse, histoire de faire un peu d'effet. Je pense à quelques odeurs, mais je me demande si ça ne va pas la tuer, vue son apparente fragilitée****

"Qui est-tu?"

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*En vérité, il y en a beaucoups d'autres, mais il serai trop long de toutes les nommer.
** Ce ne serai pas etonnant. Les humains ne sont jamais sans arrières-pensées. Ca me rappelle d'ailleur ma première invocation chez Nathaniel. Je voyais deja dans son regard torve que se gamin ne m'avait pas invoquer pour parler litterature. Et croyez-moi, ça m'est deja arrivé.
***Oui, enfin, d'une certaine façon. Disons plutôt que je suis en vacances, puisque l'autre andouille aux cheveux longs peut me réinvoquer à tout moment.
****Même si je me doute bien du contraire, elle dégage une puissante aura. Le dernier magicien que j'ai croisé qui semblait aussi puissant, c'était simon lovelace lui-même. Mais il ne peut malheureusement plus servire de preuve a cause de moi( j'ai tout de même fortement influencer sa destiné, propulsant Mandrake au sommet de la gloire, ce que ce bêta semble oublier trop frequemment à mon gout)

(merci, c'est très gentil ^^)

(Bon je vais m'incruster ici , c'est bien actif , et ailleurs ya rien à faire ^^ .)

Revenant du British Museum , un pensée m'interpella .

*Me trouvant à proximité de Rishmond , j'aimerais bien voir si les "sorciers" ont évolué leur jugement sur moi .
Après tout à quoi sa sert d'être un des êtres les plus puissants ,voir le plus puissant si on n'obtient pas la gloire que l'on mérite.*

Enfin entrant à rishmond sans trop de problème , les sorciers gardant ne me voyant pas , et les quelques Afrit et Marids pouvant me voir sous ma forme véritable après de dure négoce (en réalité seulment le temps que je profère quelque menace)me laissèrent passer sans problème.
Me rendant directement dnas la bibliothèque j'y vis une sorcière véritable , et un Djinn puissant , mais nettment inférieur à un Afrit ou Marid , alors par rapport à moi c'est comme comparé ...un ver de terre par rapport à l'oiseau qui l'avale .. le rapport de force est largement en faveur de l'oiseau .
Enfin bon je décidais dans un élan de bonne humeur de leur adressé la parole .

"Quelle étrange assortiment , réunis ici dans une bibliothèque ."

Me lassant déjà de la discussion je me pencha sur l'étude des livres de la bibliothèque à la recherche de ceux dans lesquels je pourrait figurer.

Quelque chose a pénétré dans la bibliothèque. Je me retourne, scrute la pièce à tous les niveaux. Rien aux 5 premiers mais au 6ème, une tache flou. Enfin, au 7ème, j'apperçois un djinn de degrès supérieur*. Et il est laid, très laid. Il nous jauche d'un petit air suffisant, presque méprisant, puis se dirige d'un pas orgueilleux** vers la bibliothèque et se met à examiner les rayons. Je ne fait pas de commentaires, l'ignore superbement*** et je redemande à la fille.
"Qui est-tu?"
Sauf que j'ai perdu ma voix caverneuse, déstabilisé**** par le djinn qui a fait son apparition. Alors forçement, j'ai la voix de ptolémé. Rien de très impressionnant.

"hey, jeune fille, je n'ai pas tout mon temps"
Un papillon volète autour d'elle. Il est bleu avec de petites taches noires. Il m'énerve*****.Aussitôt, je me transforme en serpent (sur le 3ème niveau, au 1er et 2cnd, je suis toujours ptolémé et son jeans). Je me balance d'avant en arrière histoire de faire impressions et ma langue s'agite hors de ma bouche.

"Il est à toi ou je peux le gober?"

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*oui, enfin, ses pouvoirs sont peut-être superieurs, mais ma ruse et mon intelligence l'est infiniment plus que la sienne. N'oubliez pas que j'ai été au service de Salomon. Et que j'ai pulverisé un afrit.
**C'est une expression. Un djinn invisible ne marche pas, il flotte. C'est plus rapide.
***Je suis très fort pour ignorer. Lorsque j'étais à Prague, lors de l'attaque de Gladstone, je commandais un régiment insupportable de gnomes inutils (ce fut sans doute l'un de mes pires postes, et pourtant...). Je ne vous dits pas la maitrise qu'il me fallais pour ne pas les balancer par dessus la muraille à chaque pet. C'était insuportable.
****Hem hem, façon de parler
*****Et ce n'est pas le seul. La fille possède un gnome posé sur son epaule qui n'arrete pas de se curer le nez. Il s'essuye ensuite sur... Non, rien.

Pearl frémit légèrement devant le souffle putride que lâche la voix caverneuse du Djinn en face d'elle. Elle retire sa main, l'évalue, s'apprête à répondre mais au même moment, le djinn se retourne. Pearl ne voit évidemment pas mais elle sent l'aura puissante d'un afrit ou quelque chose du genre. Elle ne répond pas au nouveau entrer, et souffle à Bartiméus:

"Dis, qu'est-ce qui viens d'entrer ?"

Pas de réponse, mais le djinn se retourne pour la questionner à nouveau.

"Je suis Pearl Willhow, Apprentie de Rupert Devereaux..."

Elle laisse apparaître un sinus à la prononciation de ce nom, et d'un geste, frappe le gnome qui lâche des centaines de petits pets pour exprimer son mécontentement.

"N'y touche pas, à aucun papillon, je te prie."

Elle lui adresse un petit sourire.

"Alors, es-tu venu m'exécuter, Sakrh Al Djinn ?"

Evidemment, Pearl connaît Bartiméus. Lorsqu'on se renseigne sur un Magicien, on le fait aussi sur son djinn.

Bon, pas de papillon pour aujourd'hui, tant pis. Un seul mot me vient à la gorge: merde. Bien sur, j'aurai préféré qu'elle ne sache pas mon nom.*

"Comment sais-tu qui je suis?"

Bien entendu, elle ne répond pas tout de suite. Je pense à un petit inferno dans le plafond, mais finalement, je décide de m'abstenir. Ca ferait tache içi**.
L'autre djinn est toujours sur son rayonnage. De temps à autres, il se détache de son bouquin, Djinns d'Ici et d'Ailleur*** et nous jette un petit regard amusé. J'imagine effectivemment que la situation doit etre plus que cocasse.

Cette gamine me plait, elle a du caractère. De plus, elle me parle avec un certain respect, ce dont certains feraient bien de s'inspirer****. Par contre, elle est persuadée que je viens la tuer. Alors je reprend la voix de Ptolémé et je lui demande.

"T'executer? Je crois, effectivemment, que tu le mériterai. Mais j'accepte t'entendre tes explications, ce que N... Ce que mon maître n'aurai certainement pas fait."

On va bien voir ce qu'elle repond à ça!

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*Un djinn a toujours interet à se montrer discret sur son nom, moi en particulier. Vous comprenez, j'accomplis tellement d'actes héroïques que les magiciens aimeraient bien m'avoir pour serviteur. J'ai deja le malheur de voir la tête de nathaniel à chacunes de mes invocations. Celle de cette gamine à la place, non, je ne le supporterai pas.
**De plus, je vous rappelle que je suis toujours sous les ordres de Mandrake. Il ne verait pas d'un bon oeil que je me fasse remarquer, surtout pour deteriorisation de Richmond. Et pour crise cardiaque de la gamine.
***J'ai participé à son écriture, par un jeune magicien d'Islande, completement imbu de lui-même. Ce bouquin est un vrai ramasi d'imbêcilités. j'éspère que le djinn n'y croit pas trop.
****Evidemment, c'est de Nathaniel que je parle. Ce garçon est parfois insupportable.


(J'abuse pas un peu trop sur les asterix?)

(Non au contraire je suis plié de rire à chaque lecture.
Et pis ça fait super bien ... et ça donne envie de se donner à de la vile copie ...c'est dure de résister)

Regardant les différends livre je finis par écarter ceux qui parlait de moi , et ceux qui n'en parlait pas.Dailleurs ces derniers ne valait pas la peine d'être conservé mais de tout faire bruler aurait fait ... tâche .
Enfin en second tri les livres qui disent du bien de moi et ceux qui disent du mal .

Feuilletant les livres je lus quelques passages à mi voix .
Dans Djiins d'anciens temps d'abbord:

Citation :

Grand démon surpuissant son histoire est floue .
Necessite de grands pouvoirs pour l'invoquer.
Dernière apparition , bataille de Prague

Dans Mythologie démoniaque on me traite de vulgaire mythe , qui n'éxiste que dans les esprit les plus fous.

"La plupart disent soit que je suis inéxistant soit que je suis incontrolable , non mais ai je une tête de vulgaire Djinns "incotrolable" c'est fou ce que les sorciers peuvent raconter comme innepties ."

Regardant sur les autres plans je vis rapidement qui était le Djinn , actuelment bien connu vu sa popularité grandissante , et la seule chose que je pouvais constater est qu'il ne me valait vraiment pas , au contraire de moi il est laid , informe et affreusement ...banal .
L'humaine elle dévoilait son identitée d'elle même pratique.

"Quand à ce qui vient d'entrer , c'est à dire moi , je suis ... moi voilà tout .
Quand à ce que je suis réelment , votre esprit humain limité ne peut pas le concevoir ,c'est trop illogique pour vous."

Vous ne pouvez pas immaginer le nombre d'Afrit, Marids qu'on peut trouver dans ce lieu et en ce moment même tous servils commes c'est pas croyable ils sont entrain de faire leur rapports à leurs sorciers respectifs .
Je pense que j'ai encorre une bonne dizaine de minute avant que les humains ne mettent en relations leurs informations , se voient décident de quoi faire .
Après je ne suis pas imbu de moi même , ce trait de caractère s'adresse à vous humains .On dira que je connait juste l'empleur de ma présence .
Mais c'est gentil de vous soucier de mon essance.

Feuilletant quelque livre je lu quelque passage ,la plupart assez vague .
Puis m'arrettant sur un livre , apprament pret à tomber en poussière , je l'étudie un peu regardant quelque page , on peut y voir une gravure datant d'il ya très longtemps apparament .Une rapide description se trouvait à côter.

Et voilà. Ils commencent à se disputer. Moi, je suis pas dans l'affaire*, ils se débrouillent. En attendant, cette gamine semble bien renseignée sur nathaniel et moi. J'ai interet à faire profil bas**. Surtout que tout un tas d'Afrits et de Marids trainent par là, et qu'ils nous ont remarqués. Ca m'étonnerai que la protégée du premier ministre est le droit de trainer avec des djinns inconnu tel que moi et l'autre frimeur.*** On est tout de même dans un endroit privé. Et pas n'importe lequel****. En 5 minutes, c'est deux afrits et un marid qui nous attendent devant la porte. Alors forçément, c'est chacun pour sa peau.

Aussitôt, avant que la gamine et l'autre djinn ai le temps de dire quoi que ce soit, je me change en furet, et je traverse la pièce de toute la vitesse de mes petites pattes. Deux afrits se trouvent devant moi. pas question d'essayer de les détruire avec mes pouvoirs, ce seraient ridiculement prétentieux*****. alors, je me faufile entre les rayons de la bibliothèque, passe entre deux chaises, traverse le corridor et dévale les escaliers. dans la pièce que je viens de quitter, j'entend des hurlements déchirants. Sois la gamine et en train de se faire etriper******, soi c'est le djinn*******. Je m'arète cinq secondes le temps de souffler. malheureusement, je ne peux prolonger cette pause, puisque qu'un afrit, sous la forme d'un loup, se précipite vers moi. Alors, avisant une fenêtre ouverte******** je me métamorphose en pigeon, fort nombreux ce mois çi dans la ville. l'afrit, lui, ne bouge pas du batiment. Il me regarde d'air mécontent mais ne me suit pas.; je me pose alors sur une cheminée, et m'engage, devenu un singe, à lui faire des pieds-de-nez*********.
Le magicien qui le controle doit surement lui avoir interdit de quitter le batiment. Pour quelle raison, je l'ignore. Toujours est-il cette interdiction est bienvenue, etant donné que mon essence en aurai prie un coup**********.

J'éspère bien me renseigner sur cette gamine et sur ses agissement. Quand à en parler à nathaniel, je m'interroge. de toute façon, il faudrai dejà qu'il m'invoque. Et je n'atend pas ce jour avec empressement.

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*Enfin presque pas
** ce n'est pas dans mes habitudes, je vosu l'accorde, mais pour les raisons citées plus haut, je ne tiens pas à ce que la gamine se souvienne trop de moi. Au pire, elle se rapellera mon charme et ma grace incroyable. et avec un peu de chance, elle oublira mon nom.
***Quoi que... Gladstone se moquait totalement de son apprenti, et le jeune homme passait son temps dans les quartiers mal fammés de Londres. c'est Couizole qui me l'a dit. Et on peut la croire.
**** Imaginez. Richmond. 254 djinns mineurs commandés par plus de 100 magiciens. Une vaigtaine d'afrits et 5 marids. C'est pas l'endroit pour faire le gigolo.
*****Malheureusement, tous les djinns qui ont essayés ne sont plus la pour nous le confirmer.
******Et dans ce cas, j'en connai qui vont passer un sale quart d'heure
******* Voila qui me plairait bien. Son petit air suffisant est plus qu'agaçant et, malgrès le fait qu'il soit plus puissant que moi, je lui aurai fait la peau. Mais nosu avons été interrompus. C'est bête, non?
********Il fait très beau en ce moment à Londres. Ca en devient presque exeptionnel, avec toutes cette pluie. Je préfère le soleil et la chaleure à cette dernière. je suis normal, quoi
*********Je suis très fort pour les pieds-de-nez. Saviez vous que l'un des fils de Salomon, Roboam, était un spécialiste des pieds-de-nez? Invoqué afin de l'occuper (ah, folle jeunesse), il fut mon maitre en cette matière. Interessant, non?
**********c'est une expression. je peux vous assurer que j'en aurai pris plus d'un. Et les afrits ont la main lourde



(oups, là j'ai abusé, lol)

*c'est fou comme à la première anicroche tout le monde fais n'importe quoi .*

Marchant tranquilement vers le mur le plus proche pour non pas m'enfuir mais établir une retraite stratégique , un affreux marids me barre le passage.
Je dois bien l'en remercier sans lui il fallait que je casse le mur de mes mains d'artiste ce qui les aurait fortement abimé .
Enfin bon le marids je disais m'offre gentiment les services de son corps et passant à sa suite , je sors en corbeau dans le ciel bleu de Londres .
Une fois dehors courageux mais pas complètement fou je vole jusqu'à un toit proche , où je peux observer Barthimeus s'adonner à toute sorte de ses pitrerie habituelles .
Il ne peut y avoir deux Etres arrogant si proches .
Malheureusement une partie du toit s'effondre sous Barthimeus , entrainant sa chute surement très douloureuse (enfin façon de parler , elle sera douloureuse pour son égo , même un Djinn mineur comme lui est capable de changer plusieurs fois d'aspect si vite que l'oeuil humain ne le verrais pas ).

*c'est dommage j'aimais cette petite , elle était interessante pour une humaine.
Mais bon c'est fou ce que l'on s'ennuie par ici , pas un seul sorcier arrogant pour "ordonner " de détruire l'ennemie ... à force on y prend gout à la destruction.*

(Anicroche? Loool, falais bien un peu d'action ^^ Pour le coup du toit, je me vengerai, lol)

Je vois l'autre djinn de nom inconnu qui se précipite par la fen^tre, changé en corbeau. Un marid, sous la forme d'un cobra, le poursuit, et se changeant en aigle*, s'élance par la fenètre. Le djinn se pose sur un toit non loin de moi, et commence à m'observer en train de narguer l'afrit. C'est fou ce qu'on m'admire. Je parrade un peu, content de l'énèrvement croissant de l'afrit. Sauf que je n'avais pas prévu que le marid se jette sans raison dans mon immeuble**. Tout s'écroule et, avant que j'ai pus réagire, je me retrouve à tomber en chute libre, au milieu de milliers de décombres. Toujours sous ma forme de singe, je m'aggripe à un bout de plafond*** et, prenant appui, je me change en mouche****. De toute la rapidité de mes petites ailes, je slalomes entre les differents morceaux de béton qui me tombent dessus, manque de me faire écraser plusieurs fois***** et m'élève au dessus de Richmond. C'est sur trafalgare square que je me pose, métamorphosé en chat, sur un banc.

Ce djinn est incroyable. Il aurai tout de même put faire attention avec son marid. Est-ce que je laisse trainer mon afrit partout? Quand à cette fille, il faut absolument que je me renseigne sur elle au plus vite. Elle en sait beaucoup trop sur moi****** .
Bien décidé à en savoir plus, je me dirige, dans toute ma grace de chat*******, vers un bosqut calme. J'ai plutôt interet à me reposer si je veux repenetrer dans Richmond. Avec tous ces djinns, j'ai plutot interet à avoir la pêche.


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*les marids sont des gens incroyablement prétentieux et idiot. Un pigeon ou un corbeau fait très bien l'affaire. mais eux, il faut tout de suite un aigle, pour bien se faire remarquer. Surtout que celui là fait bien 8 m d'envergure.
**Qu'est-ce que je disais?
*** Ou de sol, au choix.
****Rapide et minuscule. Voila qui est nettement supérieur à un aigle de 8 m d'envergure.
*****Voila pourquoi Londres est une ville insuportable. On manque de mourir à chaque déstruction de maison. C'est pourquoi je préfère le bois. beaucoup moins risqué.
****** Et sur Nath' aussi, mais c'est beaucoup moins important.
*******Franchement, j'aurai préféré une panthère, comme ce fut mon habitude lorsque je travaillais au service de Salomon. mais imaginez les réactions des londonniens si une panthère se promène sur Trafalgare Saquare. D'ailleur, de temps en temps, quelques djinns un peu idiots trouvent bon de se métamorphoser en kangourou ou en lion en plein dans les lieux publiques. Des énomes battus sont alors organisés pour les ramener à un quelconque zoo. Mais ils ne ramènent jamais rien.